
“Notre arrivée à Djibo était une épreuve à la fois physique et psychologique, marquée par les séquelles des violences subies dans notre village et durant notre fuite”.
G., âgé de 58 ans et père de 7 enfants, a dû fuir son village proche de Tongomayel dans la province du Soum avec sa famille en raison des violences dans la région. Pendant leur fuite vers Djibo, G. s’est fait extorquer ses charrettes ainsi que tous ses biens par les groupes armés. Cet événement douloureux a été un obstacle supplémentaire à surmonter pour la famille. “Les traumatismes vécus ont profondément affecté ma famille, entraînant des tensions et des ruptures de communication préjudiciables à nos relations familiales et à notre bien-être émotionnel”.
Grâce aux séances de parentalité positive proposé au sein des camps de déplacés à Djibo par l’équipe de JF-FS&CPiE WeWorld, la situation familiale de G. s’est progressivement améliorée. Les séances ont renforcé l’estime de soi, la gestion du stress et des émotions, favorisant ainsi une meilleure cohésion familiale et communautaire.
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